°Nom: Takako
°Age: 15 ans
°Sexe: Fille
°Depuis combien de temps vous faite du RPG? : 1 ans et demi ou 2 ans
°Exemple d'un message: Takako marchait en pleine nuit tout doucement dans les couloirs de l'école. Elle regardait a tout moment de gauche à droite. Elle pouvait sentir son coeur battre...boum boum..boum boum. Takako commença à aceléré le pas, car elle entendait plein de bruit bizarre qui venait de partout, c'est comme si elle était en train de devenir folle, elle entendait plein de voix dans sa tête qui lui disait de le faire, mais elle, elle ne voulait pas. En un clin d'oeil Takako se retrouva éfondré sur le sol, a essaier d'enlever ses voix horrible qui n'arrêtait pas de répéter toujours la même phrase.
* tue le...tue le...tue le...tue le...*
Takako cria de toute ses forces.
-NNNNNNNNNNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNn, je ne veut pas. Partez, je ne veut plus vous entendre.
Takako avait vraiment crier fort, mais personne n'vait sortit pour voir ce qui se passait, c'est comme si toutes les élèves avaient disparue, sauf elle. Avec toute sa volonté Takako réussi de se relever. Elle paniquait et courait de tout les sens, en ouvrant chacune des portes des chambres pour voir s'il y avait quelqu'un. Mais s'était sans espoir tout le monde avait soudèment disaparue. Takako se posa beaucoup de question.
*Et si s'était vraiment vrai, que l'ancien directeur de cette école qui est mort, se vengeait vraiment.*
Takako commença à paniquer de plus en plus. Elle regarda partout et quand elle se retourna pour regarda devant elle, elle se retrouva face à face avec l'ancien directeur qui était mort. Le directeur lui pris les bras et commença à les tordres.
-haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa lacher moi.
Takako n'arrêtait pas de crier. Mais tout sa n'était pas réel.
Takako se réveilla et regarda autour d'elle, elle vu quelle était ataché a un lit d'hôpital et que 2 personnes lui tenait les bras. À vrai dire, elle n'était pas vraiment à l'hôpital, elle était à l'asile. Elle est la, car depuis la mort du directeur, elle le voyait qui lui prenait les bras et les tordaient, toujours le même refrain, c'est le cauchemar qu'elle faisait à chaque nuit, mais c'est cauchemar l'avait rendu paranoiaque, donc ils avaient décidé de l'amener à l'asile. À cause de ses horibles cauchemars, elle se retrouve la plupart du temps, dans sa camisole de force.
Takako est comme pris dans un cercle vicieux que personne ne pourras se libérer.